Requiem pour les frères tsiganes

Du grand cinéma, intelligent, sensible, la pellicule à fleur de peau, nous est donné avec « Django ». Virtuose de la guitare, Django Reinhardt invente le jazz manouche, mariage fécond entre son manouche et blues américain. Muni d’un incroyable talent, il échappe quelque temps aux nazis tueurs de tsiganes, mais cela, c’est déjà le film. L’épilogue est bouleversant, aux accents du « Requiem pour les frères tsiganes », un rêve de choriste. Et pourtant Django Reinhardt ne savait pratiquement ni lire, ni écrire,  mais qu’importe!

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